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18 décembre 2020

Formation - 3 questions à Matthieu Gray - retours d'expérience

Matthieu Gray, pouvez-vous vous présenter ? Quelle fonction exercez-vous actuellement ?

Je travaille au Groupe NEHS, dont la maison mère est la Mutuelle Nationale des Hospitaliers (MNH) et dans lequel j’occupe la fonction de Responsable de la gestion des risques et du contrôle interne Groupe.

 Pourquoi avoir choisi la formation « Management des risques de non-conformité pour assurance » ? Que vous apporte-t-elle ?

Outre mon intérêt pour les questions de conformité, je suis amené à travailler en étroite collaboration avec la direction de la vérification de la conformité. Nous avons de nombreuses interactions sur des sujets tels que la cartographie des risques ou le contrôle interne. Suivre cette formation me permet de mieux connaitre la discipline, mais aussi mon métier actuel finalement.

 Vous finissez actuellement le cursus, quel regard portez-vous sur cette formation ?

Un des objectifs que je poursuivais en suivant cette formation était de pouvoir en retirer des enseignements immédiatement applicables dans mon organisation. Je dois dire que, de ce point de vue, la formation a pleinement

rempli ce rôle. Nous avons lancé plusieurs réflexions et chantiers, chez nous, à la suite de cette formation. Les intervenants sont, sans exception, de très bon niveau et un grand nombre de domaines sont couverts. Par exemple, l’apport des nouvelles technologies pour aider à la gestion de ces risques, si consommatrices de ressources, est traité dans le cadre de cette formation.

 En raison de la crise sanitaire, la formation s’est tenue en partie à distance, que retenez-vous de cette expérience ?

Pour l’essentiel, en tant qu’auditeurs nous n’avons pas pâti de cette situation. Les outils dont nous disposions nous permettaient de bien suivre les cours et même de pouvoir mener des ateliers par petits groupes. Ces conditions n’ont pas été notablement différentes des conditions de travail de bon nombre d’entre nous durant cette période, à cette différence près que nous ne nous connaissions pas, ni ne connaissions les intervenants. Nous n’avions pas l’habitude de travailler ensemble.

J’imagine aussi que ces conditions ont pu représenter un réel défi pour les intervenants ! Cela étant dit, la formation à distance a aussi offert une souplesse pratique et n’a pas été une mauvaise expérience. Il me parait plausible, indépendamment de tout contexte sanitaire, qu’elle soit encore occasionnellement pratiquée à l’avenir.